Un esprit zen, malgré les incertitudes

11 jours ont passé depuis que j’ai été informé de mon licenciement économique.
A vrai dire, j’avais été licencié le 24 septembre dernier, mais le temps que le courrier ne me parvienne, il s’est écoulé un peu de temps 😅
Cela dit, j’étais au courant depuis début juillet que j’allais être licencié, j’ai donc eu le temps de digérer un peu les choses.

Je dois dire que l’annonce officielle du licenciement économique n’a heureusement pas généré en moi un « blues » ou un excés de stress, qui auraient pu être compréhensibles. Après 10 ans de collaboration avec mon employeur dont 6 années en CDI salarié, cela aurait pu « remuer » mais je gère assez bien la situation. Malgré le vent d’incertitude qui souffle sur ma tête, j’arrive en effet à garder la tête froide.
J’ai vécu une superbe aventure professionnelle en tant que journaliste spécialisé dans les sports de glisse, réalisé des centaines et centaines d’interviews…
Mais le meilleur est peut-être encore à venir. L’espoir d’un lendemain enchanté est ainsi le meilleur des relaxants, et cela aide clairement à rester droit dans ses bottes.

Je sais que je vais être indemnisé durant deux ans, j’ai un toit sur la tête et je regarde désormais droit devant. Sans volonté de me précipiter. Je souhaite au contraire mettre à profit le temps dont je dispose pour bien choisir mes options, et écrire mon futur de la plus belle des manières.

Cela ne sera pas facile de retrouver en emploi dans le monde du journalisme.
J’ai donc hâte de pouvoir enclencher au plus tôt un bilan de compétences, finançable par France Travail. Cela pourrait m’offrir des perspectives intéressantes, moi qui suis également sensible aux univers du marketing, de la communication et des relations presse. J’attends désormais que France Travail me recontacte pour débuter cet accompagnement…

En résumé, je suis de nature positive, et je compte bien me battre pour mon avenir professionnel !

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Crédit photo de Une : Rodrigo Ortiz